Mon beau rêve
Un peu plus tard, mon ami se penche en arrière pour s'étirer et il me dit : « Je ne sais pas pour toi, mais moi j'aimerais bien que tu viennes me manger la queue. Elle est tellement bandée, j'ai l'impression qu’elle va exploser. » Puis il dézippe son pantalon pour sortir son pénis qui se tend et se détend au rythme de son cœur.
Je ne me fais pas prier. Je me retrouve entre ses jambes pour manger cette bonne queue dure. Ce que j'aime par-dessus tout, c'est entendre mon ami gémir de plaisir. Voir l'expression sur son visage lorsque je lui fais quelque chose de particulièrement bon. J'aime bien aussi observer la contraction involontaire et persistante de ses abdominaux et comment il doit tendre les jambes et les orteils pour supporter la caresse de ma bouche sur son sexe.
Mais je ne veux pas que ça se termine. Pas si tôt. Alors je vais interrompre les stimulations chaque fois qu'il semble trop près de l'orgasme. Cela peut durer aussi longtemps qu'il le souhaite. Et mon ami pourrait décider qu'il a envie d'un peu de variété. Il pourrait par exemple vouloir que ce soit à mon tour de me faire manger la queue. Il pourrait vouloir que nous retirions nos chandails et pantalons afin de coller nos corps l'un contre l'autre. Et peut-être qu'à un moment donné nous ferions l'usage de condoms et lubrifiant. Qui sait ?
Quand mon ami en aura assez, il empoignera son sexe d'une main ferme et se masturbera jusqu'à éjaculer partout sur son teeshirt qu'il devra ensuite enlever. Et je serai content de pouvoir enfin coller mon visage contre son beau torse pendant qu'il s'endort pour une petite sieste.
Voilà de quoi je rêve depuis que je sais que j'aime les hommes. Que j'aime leur corps et surtout que j'aime leur pénis. Et si j'ai bien eux droit à quelques rapports sexuels de cet acabit avec mon chum, ça n'a jamais été vraiment comme j'aime, surtout la fin. Après le sexe, mon chum était plus genre à se mettre à courir partout dans la maison pour effectuer des tâches ménagères et exigeait que ce soit aussi mon cas. Alors que moi je me sens à moitié mort après l'orgasme.
Ce n'est pas des farces. J'ai l'impression d'avoir couru tout un marathon en 5 secondes et il arrive même que l'orgasme me provoque une forte migraine. Tout dépend de la manière dont j'ai atteint l'orgasme. Le sexe à la maison avec mon chum devait généralement se passer le plus vite possible alors que lui-même lorsqu'il allait courailler, il pouvait faire durer ça pendant des heures. Mais si l'on prend son temps avec moi, ça réduit les chances que je me sente physiquement mal par la suite.
Ainsi, mon ami sera gentil de me laisser le temps de récupérer avant de me demander que je retourne chez moi. Je n'ai peut-être pas besoin de passer la nuit avec lui dans son lit, mais une ou deux heures tranquilles sur le sofa me feraient le plus grand bien.
Notez que dans ce scénario, mon ami est celui qui décide de tout. Toutefois, je peux aussi prendre le contrôle. Il suffit que mon ami me dise clairement que c'est ce qu'il souhaite et qu'il me donne plus ou moins carte blanche dans le respect des limites de chacun. Que se passerait-il dans ce second scénario ?
Bien, dans mes rêves, ce ne serait pas très différent excepté que je serais libre de serrer son corps dans mes bras et coller mon visage contre sa poitrine dès que j'en ressens le besoin. Je serais libre de caresser son beau corps et de retirer ses vêtements pour me mettre à lui manger la queue de la même manière que s'il me l'avait demandé. Pour le reste je resterai à l'écoute de ses désirs et ses besoins sans me forcer à faire des choses que je ne souhaite pas.
Tant que nous sommes tous les deux heureux de passer un bon moment ensemble, tout va bien.